Derrière les réformes
Il y a un discours officiel mais il pourrait y avoir aussi - derrière le rideau - des intérêts privés.
Les domaines de la santé, des mutuelles, des retraites aiguisent des appétits.
Professionnellement j'ai connu un monde où la mutualisation a peu à peu été abandonnée pour la rentabilité.
Le discours de la retraite par capitalisation a été mis en sourdine au moment où la crise financière a fait partir en fumée une partie des fonds de pension, mais la charge est récurrente.
On fait mine de défendre la retraite par répartition mais en suggérant - pour ceux qui le peuvent bien sûr - un complément en capitalisation.
Certains, attirés par le gain, se reconvertissent dans les bons filons :